Guidé par les atmosphères oniriques et envoûtantes de la nature sauvage, il tente de transformer ses émotions en une certaine forme de beauté évocatrice. Jouant avec lumières, couleurs, formes et contrastes, Alexandre a appris à magnifier les paysages naturels, leur donnant parfois des allures surréalistes. Ses images, parfois comparables à de véritables peintures, émanent de la vie en montagne et des éléments naturels qui la composent. Au-delà de la montagne, ce sont ces vastes étendues un peu folles et sans limite, qu’il retrouve notamment en Islande, qui l’attirent. Alors qu’il prépare une nouvelle expédition en Patagonie, Alexandre doit faire face aux tourments de la nature dans cette quête de l’image éthérée.